Bonjour voici le début de l'histoire que j'écris, n'hésité pas à me donner votre opinion.
Le journal de Riane, la voyageuse.
Introduction:
A la lueur d’une bougie, dans une sombre pièce exiguë, se tenait une vieille femme. Elle était assise à un vieux bureau en cèdre rouge. Un stylo à la main, elle se concentrait au dessus d’un vieux cahier.
Une foule de pensés et souvenirs se bousculaient dans sa tête, elle tentait de tout mettre en forme, pour que les futures voyageuses puissent apprendre tout ce qu’elle connaissait.
Et moi en tant que nouvelle voyageuse, je l’observais.
Ce moment était particulièrement émouvant pour moi. C’était ma première observation et j’observer la fin de ma propre histoire.
La vieille Riane trembla faisant volait sa longue chevelure blanche, tellement semblable et pourtant si différente de la mienne.
Elle regarda vers le fond dans le coin de la pièce où je me trouvé, peut être se souvenait elle que je me trouvé ici en cet instant. Au moment où me vint cette pensée un sourire se dessina sur ses lèvres, oui, il ne faisait aucun doute qu‘elle se souvenait de cette scène.
Elle tourna lentement la tête vers le carnet, comme ci elle m’invitait à le regarder. J’aurai pu me servir de l’œil de vérité ou du bâton du cœur pour deviner ses pensées mais cela me sembler incongru d’utilisé son propre équipement contre elle.
Alors me fiant à mon seul instinct, je m’avança lentement près d’elle.
Comme ci elle m’avait attendu, dès que je fût à ses côtés, elle se remit à chercher dans sa mémoire tous se qu‘elle avait vu au cours de ses nombreux voyages.
Soudain, elle se mit à écrire, d’une écriture plus fine et plus élégante que je ne l’aurai cru.
« Bonjour, je me nomme Riane. Je suis une voyageuse mais surtout une observatrice. Cela fait des disaines d’années que je voyage grâce à mes ailes de lumière entre les dimensions et les époques selon le courant des âmes.
J’ai vu énormément de choses dans ma vie.
J’ai observé bien des gens extraordinaires.
J’ai vu des destins se créé et se détruire.
J’ai vu des âmes se mêlaient et se démêlaient .
J’ai assisté à de véritable tragédie.
Mais jamais je ne suis intervenue, c’est la seule règle que les observateurs doivent suivre.
Je suis restée invisible de tout et de tous. Et maintenant que ma vie de voyageuse s’achève, je vais retranscrire dans ce journal mes observations sur les gens les plus surprenants que j’ai pu voir au fils du temps. »
Au moment où elle posait le point de la pointe de son stylo, mes longues ailes prirent vie, s’allongeant de plus d’un mettre, elles se mirent à luire tellement fort qu’on les auraient cru faite de lumière plutôt que de métal .
J’aurai aimé rester encore un peu près d’elle. Sa présence m’était tellement rassurante mais mes ailes m’emmener déjà ailleurs .
Alors que j’étais déjà presque arrivée autre part sa voix me parvint en un souffle:
« ne t’en fait pas tous ce passera à merveille »
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